Février 2023

Du 25 février au 2 mars 2023 Trek raquettes Vallées des Gaves

Jour 1, samedi 25/02 : 11 participants, montée au refuge des Espuguettes
  • Départ de Gavarnie. Nous traversons le village, puis au pont de Brioulé, nous chaussons les raquettes pour attaquer la montée vers la cabane de Pailla. il a neigé la veille, les arbres sont encore chargés. La montée dans la forêt est magnifique. Le cirque est éclairé par le soleil du matin.
  • Autour du chalet de Pailla, le parc a installé une zone de tranquillité pour le Grand Tétras. Nous poursuivons vers la cabane. Vers 1780m, à la sortie de la forêt, le refuge se dévoile juste au-dessus. Il reste 240m à monter, mais la trace a été faite.
  • Sur le plateau de Cardous, nous montons 100m de plus en faisant la trace, de bosses en bosses. Le retour s'effectue par le même chemin.
  • Transfert en voitures pour Cauteret et le Pont d'Espagne, et nous rejoignons le refuge du Clot en raquettes pour y passer la nuit.
  • Premier jour : 10km, +/- 700m
Jour 2, dimanche 26/02 : 13 participants pour aller au refuge Wallon
  • Nous montons rive droite du Marcadau jusqu'au pont d'Estalounqué, en bout des pistes. Nous traversons le torrent, puis nous atteignons le refuge Wallon en 2h45. Le soleil se manifeste, nous pique-niquons devant le refuge tout neuf. 
  • Vers 13h, nous décidons d'aller aux lacs de Cambales. Mais le temps se couvre tellement, que le relief n'est plus visible. Nous renonçons et nous nous contentons d'un tour sur le plateau. 
  • C'est quand nous sommes installés dans les chambres que le soleil réapparaît et que les sommets deviennent bien visibles. 
  • Séance Yoga avant le repas pour certains. Très beau refuge, mais "il manque des  patères" !
  • Pour le deuxième jour : 9km et + 600m
Jour 3, lundi 27/02: retour au Clot et Lac de Gaube
  • Il neige. Nous choisissons de redescendre au refuge du Clot, puis de monter au lac de Gaube par le GR10. Là encore, la forêt est splendide et le soleil se montre quand nous arrivons au lac.
  • De retour à la cascade du Pont d'Espagne, le groupe se sépare : 5 rentrent sur Léguevin. Les autres reviennent dormir au refuge du Clot.
  • Renseignements pris auprès du gardien du refuge de la Glère : la montée n'est pas sereine, il y a des risques de coulées avant d'arriver au refuge : prudents, nous renonçons.
  • Troisième jour : 15km, -700m et + 350m
Jour 4, mardi 28/02: 8 participants, Col du Soulor
  • Il a un peu neigé pendant la soirée. Nous descendons prudemment de Pont d'Espagne à Cauteret, puis plan B, nous allons à Arrens.
  • La randonnée sur l'après-midi démarre au col du Soulor sous un ciel bien gris. Pour ne pas être dans la station, nous nous garons après le col et nous partons en faisant la trace. La neige est profonde.
  • Marc nous amène au col de Soum, puis à la crête de la Serre. Là, le soleil revient et la vue se dégage du Gabizos au Cabaliros, au-dessus d'Arrens.
  • Quatrième jour : 8km, +/- 400m de dénivelé
Jour 5, mercredi 01/03: La Tucoy
  • Plein soleil depuis le matin, nous partons de Siriex pour aller à La Tucoy. Nous chaussons les raquettes dès la sortie du village. La trace en forêt, au milieu des arbres tout blancs, nous amène à la jolie cabane d'Artigue Det Mi. 
  • Nous poursuivons pour rejoindre la cabane  de l'Abedet. Bientôt, nous sortons de la forêt et nous quittons la piste pour rejoindre la crête. Là, il faut faire la trace. 
  • Puis de bosses en bosses, nous arrivons au "Petit plat", et enfin à La Tucoy. Le retour s'effectue par le même chemin.
  • Cinquième jour : 12km, +/- 1035m
Jour 6, jeudi 2 mars :  à Hautacam
  • Ce n'est pas la même météo que la veille, le ciel est très nuageux, nous montons en voiture à la station d'Hautacam.
  • Au parking du col de Tramassel, nous chaussons les raquettes et nous nous engageons d'abord le long des pistes, puis en faisant la trace vers le Pic de Barran et les crêtes de Lhens. Le temps se couvre de plus en plus, le relief disparaît. Nous faisons demi-tour une nouvelle fois !
  • Après le pique-nique, la crête vers le Pic de Nerbiou à l'air dégagée. Nous montons jusqu'au Soum de Maucasau. Là encore une fois, nous n'y voyons plus rien, nous sommes en plein dans le nuage. Nous retournons au parking !
  • Sixième et dernier jour,11km, +/- 500m
Bilan du trek : Beaucoup de neige, les passages en forêts superbes, une météo très changeante, qui nous a quand même offert de beaux passages ensoleillés pour profiter du panorama. 57km, +/- 3185m de dénivelé, le tout en raquettes.

Dimanche 19 février 2023 – Aubiet (Au Bois de Tulle) et Sainte-Marie (32)

  • A nouveau 30 participants ont répondu à l'invitation de Maguy qui souhaite nous faire découvrir sous un soleil éclatant les environs de ce petit village perché sur une des nombreuses collines du Gers.
  • On commence par les petites ruelles et une descente vers l'Arrats, petit ruisseau, surtout en cette période de sécheresse, mais tout de même long de 182 km entre le plateau de Lannemezan et l'embouchure avec la Garonne un peu au-delà d'Auvillar. Nous allons remonter son cours sur plusieurs kilomètres jusqu'au village de l'Isle-Arné par un très agréable sentier alternant passages en sous-bois et le long de belles parcelles agricoles.
  • Après avoir traversé le ruisseau d'en Grazan et l'Arrats, nous atteignons la chapelle de Paillan où nous ferons une petite halte le temps d'admirer sa façade (à défaut de l'intérieur). Tout de suite après, la belle bâtisse de La Lanne nous surprend, c'est maintenant un réceptif pour grandes occasions.
  • Puis par monts et par vaux, toujours dans un environnement agréable parsemé de lieux-dits tels par exemple que Las Daounes, nous atteindrons le bois de Tulle, objectif de ce parcours. On le traverse de part en part au moyen de quelques zigzagues dénivelés et à la sortie nous apercevons dans le lointain le clocher d'Aubiet que nous atteindrons après avoir emprunté le chemin de la Jalousie.
  • Nous reprenons nos voitures et nous rendons par l'ancienne route nationale et Gimont jusqu'à Sainte-Marie où Maguy et Jo proposent un apéritif d'accueil. Après le RTS, c'est le traditionnel rassemblement des gâteaux apportés par les marcheurs, cette année il n'y aura pas de photo dans le reportage, les appétits ont été plus rapides que les photographes !!!
  • Et pour clôturer en beauté cette belle journée, c'est la non moins traditionnelle cueillette des jonquilles dans le talus des Bourgès, peut-être un peu moins nombreuses cette année, mais toujours aussi belles sur le terrain et dans les bouquets qui embelliront la demeure des cueilleurs !
Encore un grand merci à Maguy pour cette belle journée.
Guy

Jeudi 16 février 2023 – Grande boucle des 3 dolmens au Mas d'Azil (09)

  • 30 au départ pour cette randonnée annoncée pour 17 km et 500 m de dénivelé. Nous quittons la place principale dans une bonne fraîcheur et traversons l'Arize sur un joli vieux pont. Très rapidement nous entamons une bonne montée qui nous permet, outre de ne plus ressentir la fraîcheur, de bénéficier rapidement de belles vues sur le site du Mas d'Azil puis, au fur et à mesure de notre progression, sur la partie centrale de la chaîne des Pyrénées. 
  • Une petite pause en haut et nous entamons un long parcours sur un chemin caillouteux en crête offrant une alternance de vues dégagées sur la plaine garonnaise à notre droite, sur les Pyrénées et le Mont Vallier à notre gauche. La végétation de ce coin de l'Ariège est quasiment identique à celle que nous aurions côtoyée 200 km plus au nord dans le causse du Lot.
  • Le 1er dolmen, Brillaud, est atteint assez rapidement, nous serons toujours dubitatifs sur la manière dont nos lointains prédécesseurs les ont mis en œuvre. 
  • A l’extrémité de cette longue ligne quasiment droite mais alternant de tous petits dénivelés nous faisons un petit écart pour le 2ème dolmen, Couminge, presque accolé à une originale maison en bois de forme polygonale.
  • Nous quittons la crête pour une descente bien pentue à la fin de laquelle nous trouvons un bel endroit pour prendre le RTS à l'issue duquel des moutons mérinos vont nous rendre une petite visite, certainement pas dénuée d'arrière-pensée alimentaire....
  • Après la traversée du ruisseau de Camarade et le choix de ne pas faire l'écart jusqu'à ce petit village, nous reprenons le chemin du Mas d'Azil dans un environnement bien plus agricole alternant des prairies et des champs destinés à la culture.
  • Une dernière montée, alors que la température est celle d'une fin de mois d'avril, et nous parvenons au 3ème dolmen, celui du Cap de Pouech. Nous le quittons pour entamer la descente très pentue mais bien aménagée vers notre point de départ. La traversée du Mas d'Azil nous permet de voir de jolies maisons à pan de bois et un grand moulin sur l'Arize en cours de rénovation.
  • Les débits de boisson locaux étant fermés, nous reprenons nos voitures pour aller admirer le travail de l'Arize qui a traversé dans des temps préhistoriques le terrain calcaire du massif en creusant un tunnel gigantesque ainsi que le travail des hommes qui y ont inséré une route départementale et l'entrée de la grotte préhistorique bien connue.

Guy

Dimanche 12 février 2023 Pic de Bataillence

  • Nous sommes 4 participants au départ du parking avant le tunnel d'Aragnouet-Bielsa à 1820m. Dès le départ, nous choisissons de mettre les crampons, mais la neige est assez souple, nous aurions pu mettre les raquettes. Nous montons en restant rive gauche du torrent. En face, les alpinistes commencent à escalader les 2 cascades de glace : magnifique.
  • Vers 2000m, il faut mettre les raquettes, la neige est très souple et on s'enfonce beaucoup par endroit. La pente se redresse, nous essayons une trace qui traverse le torrent, mais rapidement c'est du dévers très pentu. Retour rive gauche. Et nous attaquons une pente très raide. Les traces de skieurs juste devant nous nous aident à monter en traversées. 
  • Sur le plateau, vers 2150m, nous ne sommes plus que 3 à poursuivre. La partie en dévers se négocie prudemment en restant dans les traces fraîches, car la neige a tendance à fuir sous nos pas.
  • A 2360m, nous décidons de nous arrêter pour ne pas laisser notre compagnon trop longtemps tout seul. La vue sur la crête frontière est très belle et s'étend jusqu'à Barrosa et la Munia. Le pique-nique est bref à cause du vent. 
  • La partie la plus raide se descend en partie sur les fesses ( rapide !). Puis nous retrouvons les cascades de glaces éclairées. Il faudra revenir, pour aller jusqu'au Pic et voir en Espagne.

Nicole

Samedi 11 février 2023 – Roussergue (81)

  • Il n'est pas facile de se garer dans ce hameau de Roussergue : il est perché sur une colline et il n'y a pas de parking. Depuis le pré que nous avons envahi (record battu : 33 personnes ) avec une température voisine des -6° nous contournons l'église Notre Dame de l'Assomption, de style roman remanié et empruntons un sentier en descente vers le ruisseau du Bombic.
  • Nous sommes dans la forêt de Grésigne que nous allons rapidement quitter par un sentier de cailloux, assez raide qui nous conduit au belvédère du Rocher des Suquets. 1er panorama sur la vallée de l'Aveyron. Dans la montée se trouve la grotte de la Pyramide ( préhistorique); mais l'accès était interdit : dommage!
  • Le sentier serpente dans le causse quercynois et nous fait voir de belles bâtisses en ruine. Nous rejoignons le GR 46 qui nous permet d'atteindre  le Rocher de Biouzac d'où nous pouvons profiter de spectacles à couper le souffle avec des vues sur la vallée, les champs de cultures fruitières et le Château de Penne. Nous en profitons pour déjeuner.
  • Le sentier de crête suit les falaises calcaires et après une longue montée nous fait retrouver la forêt de Grésigne. La descente est un peu technique et nous regagnons le parking.
  • Nous avons pu prendre un pot au bistrot de Penne, avec vue sur le Château. Ce qui a clôturé une très belle journée ensoleillée. Nous avons parcouru 16 km avec un dénivelé de 460 m.

Annie

Samedi 04 Février : Boucle  Condom - Larresingle (32).

  • Par une belle matinée quoique fraiche,  le groupe de 29 randonneurs a débuté la randonnée par la voie verte (ancienne voie ferrée fermée au trafic depuis 1938 ( ;-) au Ferrovipathe).
  • Puis en montant sur le coteau, s’offrait à nous un joli panorama représentant Condom avec sa cathédrale dans la brume évanescente.
  • De chemins herbeux en sentes boisées,  nous arrivâmes  au hameau de Goalard : après quelques explications sur l’origine du valet de carreaux, nous avons visité une grotte artificielle creusée par un particulier dans laquelle était installée : la nativité,  un coffre, une fontaine…
  • On se serait cru à Bethléem  après l’arrivée des trois premiers randonneurs (Melchior, Gaspard et Balthazar).
  • Quelques mètres plus loin, nous sommes rentrés dans l’église romane du XI siècle à la bonne grâce d’un habitant qui nous en a ouvert la porte.
  • Le chemin s’est poursuivi pour arriver à Larresingle où nous nous sommes restaurés dans un lieu dédié et équipé de toute commodité (Félicitations  aux communes qui intègrent ces équipements).
  • Bien repus, nous avons visité ce petit Carcassonne gersois  constitué d’une enceinte de 270m, d’un château et de l’église St Sigismond dont le buste est représenté par Vercingétorix..?
  • En redescendant vers la rivière l’Osse nous avons pu admirer le pont d’Artigues  situé sur la voie du Puy en Velay à 1000 km de la cathédrale de st Jacques de Compostelle.
  • En reprenant le GR à rebours nous sommes retournés au parking. Au final nous aurons randonné pendant 17,5 km en effectuant un dénivelé de 240 m.

    Alain

    Contribution Photos : Françoise, Pascale, Michel G, Alain M.

Jeudi 2 février 2023 – Goyrans (31)

  • Ce n'était pas la 1ère fois que nous faisions cette rando, mais elle a l'avantage d'être proche de Léguevin et d'être facile. Nous étions, de ce fait, 29 personnes.
  • Ce circuit, au départ de Goyrans, nous  mène à Aureville, que nous quittons par un sentier en sous-bois. puis nous atteignons la  chapelle  Notre Dame des Bois où une statue en bois a été découverte et est devenue un lieu de pèlerinage. Puis nous longeons le ruisseau de Notre Dame par un sentier sauvage et ombragé pour atteindre le sentier botanique qu'il faut grimper ( la seule difficulté de la rando) jusqu'au village de Clermont-le-Fort qui domine la vaste vallée de l'Ariège.
  • Après le repas, avec vue panoramique, nous redescendons jusqu'à l'Ariège que nous longeons, puis quittons par un large chemin au pied d'une "falaise".
  • Un vestige de moulin sur notre route et le dernier chemin jusqu'aux voitures. Et tout cela sous un beau ciel redevenu bleu...
  • Nous avons parcouru 16 km avec un dénivelé de 300 m.

Annie
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