Dernières sorties
Jeudi 23 janvier 2025 - Le Grès chez les Hauts Tolosans (31)
- Nous étions 27 à quitter Léguevin de bon matin un peu frisquet, pour le village de Le Grès. Nous sommes partis pour 14 kms environs et 200 m de dénivelé.
- Paysage vallonné rappelant le Gers voisin. Pour nous permettre d’être à l’abri, en cas de mauvais temps, nous avons pris la rando à l’envers pour pouvoir être sur le village de Pelleport vers midi, où nous avions repéré des endroits couverts, pour le R.T.S.
- Juste à côté de la mairie, un café associatif était encore ouvert à midi et une charmante dame a servi des cafés, à ceux d’entre nous, qui le désiraient.
- Finalement le soleil est resté avec nous, ce qui était bien agréable. Le sentier était un peu boueux au départ, mais dans l’ensemble la rando s’est bien passée.
- Nous remercions tous les participants de cette journée et à bientôt sur les chemins.
Evelyne et Jean-Pierre C.
Samedi 18 Janvier 2025 - Boucle Castelnau-Barbarens Boulaur (32)
- Le parcours a débuté sur le chemin nous menant au bourg de Castelnau-Barbarens. En passant devant la maison d’un tailleur de pierre, nous avons pu admirer ses œuvres sculpturales (petites maisons à colombage, un puits fermé par un toit ogival en lauze,…).
- Ensuite, nous avons gravi les escaliers reliant les ruelles en colimaçon de ce Bourg médiéval. Nous avons emprunté une galerie couverte appelée en Gascon «Emban», lieu dédié autrefois aux assemblées municipales. Sur les hauteurs du village, près du clocher-tour Sainte Quitterie, le panorama de la vallée de l’Arrats s’offrait à nous.
- Puis nous avons suivi le chemin du calvaire pour atteindre la ligne de crête. Sur notre droite se présentait la chaîne pyrénéenne défiant sur notre gauche les collines harmonieuses d’un Gers givré, attendant qu’Hélios les caresse de ses chaleureux rayons.
- D’un bon pas, d’un vallon à un autre, l’abbaye de Boulaur nous est apparue ! Illuminée par la grâce d’une lumière céleste. Ainsi la pause déjeuner ne pouvait que débuter sous un bon hospice… Merci aux moniales pour leur accueil chaleureux.
- Repus, notre itinéraire nous a ramené de sentes boisées en routes vicinales jusqu’à notre point de départ.
- Par chance ce dernier se situait en contre bas d’un bar restaurant "la cabane de la tuilerie" où nous nous sommes rassemblés pour le pot de l'amitié.
- Les randonneurs au nombre de 29 ont parcouru 16,5 km pour un dénivelé de 300 m.
Alain D
Lien vers l'album photos avec le reportage de Alain M, Gilles, Jean Marie et Philippe :
Samedi 18 janvier 2025 - Randonnée hivernale au col de Goulur et hameau de Goutets (09)
- Nous sommes 8 au départ du petit hameau de Carol (commune de Le Port après Massat).
- Après avoir réussi à garer les voitures sans gêner les habitants, et dit au-revoir à une habitante de 83 ans qui tient une longue conversation avec notre président, nous attaquons directement la montée. Le chemin communal monte directement dans la pente pour atteindre les habitations du haut du village et se prolonge par un bon sentier, de pente raide sur 400m de dénivelé.
- A la sortie de la forêt, nous sommes dans la neige, bien dure. Nous cheminons en balcon encore un moment en sous-bois pour rejoindre le col de Goulur. Nous chaussons les crampons, la neige est dure. Surprise, il y a une cabane, toute neuve (2023) au col ! Elle est très belle. Nous renonçons à aller au Pic de Goulur, il est déjà midi passé.
- En traversée, nous nous dirigeons vers les hameaux de Goutets : les crampons sont indispensables car certains passages sont gelés. Le pique-nique devant les cabanes de Goutets nous permet de profiter du beau soleil de cette journée hivernale.
- La redescente s'effectue d'abord par la piste forestière (encore quelques passages gelés), puis par un sentier parallèle à celui du matin, qui nous fait passer devant plusieurs granges en ruines ou réaménagées.
- Nous traversons le village de Carol, dont plusieurs maisons sont habitées, avant de rejoindre nos voitures.
Randonnée bien ensoleillée de 13km et 550m de dénivelé +/-, Ibp 70
Nicole
Dimanche 12 janvier 2025 – Villeneuve sur Tarn (81)
- Ce dimanche, nous partons à 22 pour une jolie boucle dans le Tarn, au départ du petit village de Villeneuve sur Tarn. Bonnets, gants et habits chauds sont nécessaires, les températures sont négatives.
- Sur le chemin, nous découvrons une ancienne forge et ses instruments qui attirent la curiosité des hommes, puis sur les hauteurs le château de St André. Une grande partie du parcours est sous bois, avec de nombreux châtaigniers.
- Vers 12h30 nous pique niquons au bord d'un chemin ensoleillé et à l'abri du vent frais.
- Nous continuons la boucle et rejoignons vers la fin le Tarn que nous longeons avant de revenir au village.
- Nous faisons finalement 18 km et 600 m de dénivelé.
- Nous partons au village d'Ambialet pour le pot habituel, au bar de la Presqu'île, fort sympathique et nous apprécions de nous retrouver au chaud.
- Ce fut une belle journée dans la bonne humeur.
Valérie et Dominique
Jeudi 9 janvier 2025 – Moissac (81)
- C’est l’histoire de douze randonneurs courageux partis braver les intempéries entre Moissac et Boudou dans le Tarn et Garonne. Cette randonnée démarre par un échauffement musculaire et articulaire durant quelques hectomètres le long du canal latéral à la Garonne jusqu’à l’écluse d’Espagnette où nous franchissons ledit canal pour rejoindre les coteaux. Après une traversée des vergers de cognassiers, une petite pause s’impose et certains en profitent pour déguster de petites pommes issues d’un boquettier (pommier sauvage). Les commentaires vont de «elles sont super sucrées» à «la peau est trop épaisse …» mais aussi moins nuancés «brrk...»
- Nous attaquons notre première montée en sous-bois se terminant par un petit tronçon assez glissant et collant. Continuation sur la crête pour arriver à un premier point de vue sur la plaine et la confluence Tarn et Garonne. On est monté, donc maintenant on descend une combe à travers les champs pour rejoindre un vallon nous ouvrant la porte à la montée sur Boudou, deux sentiers s’offrent à nous, nous choisissons le plus facile, moins pentu et moins boueux.
- Arrêt au point de rencontre des deux sentiers pour admirer la vue du plan d’eau, créé artificiellement par le barrage de Malause servant à garantir le niveau d’eau pour alimenter le canal de Golfech qui assure le refroidissement de la centrale du même nom. On peut aussi apercevoir la ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Écologique, Faunistique, Floristique) sur le bord de plan d’eau en amont de la base de loisirs. Arrivée sur le plateau de Boudou saluée par un petit grain, nous posons le sac pour un pique-nique sous le porche de l’église avec l’accord bienveillant des autorités locales. A la fin de la pause, un jeu café (on se croirait au Club Med), «d’ailleurs le savez- vous? quel personnage né dans les environs a donné son nom à une marque de voiture, et à qui l’on doit la création d’une ville ?» *
- Nous voilà repartis pour clore la boucle, dans un premier temps descente à flan de colline par un sentier assez marqué et nous rejoignons le canal. Cheminement sur l’ancien chemin de halage avant de prendre sur la droite. Un bon kilomètre entre Tarn et ruisseau de Madeleine sur un chemin large, malheureusement pollué de nombreux déchets sauvages. C’est presque fini, nous rejoignons à nouveau le bord du canal pour clore cette randonnée.
Bilan : 15,51 km pour un dénivelé de 340 m, le tout en 3 h 24 de déplacement
Laurent
* Antoine Laumet né à Saint Nicolas de la Grave (en face de Boudou) en 1658 parti a la conquête des Amériques devenant Antoine Lamothe de Cadillac (vous avez le nom de la voiture) et qui a fondé la ville de Détroit dans le Michigan.
Photos de Philippe :
Samedi 14 décembre 2024 - Les coteaux de Lisle sur Tarn (81)
- Ce samedi 14/12, ce circuit au départ du petit lac de Bellevue de Lisle sur Tarn nous mène vers les collines boisées en direction de la forêt de Sivens.
- La première partie nous fait longer les vignes du gaillacois; puis le chemin monte vers le hameau de Montégut d'où nous avons une vue sur la Chapelle. Le paysage fait penser à la Toscane. Puis nous cheminons sur un sentier boisé (une petite mare, une passerelle, ...).
- Nous arrivons à la Chapelle de St Etienne de Vionan où nous prenons notre repas (à l'abri !)
- Le chemin redescend vers la plaine, nous mène au tumulus de St Salvy où se trouve également une chapelle, et retour au parking.
- Cette rando de 18 km et 320 m de dénivelé a été faite par 19 participants. Le temps a été assez humide mais nous nous sommes réconfortés au bistrot de la place de ce beau village de Lisle sur Tarn.
Annie
Jeudi 05 décembre 2024 - Boucle Riguepeu – St Arailles (32)
- Notre randonnée a débuté place du foirail à Riguepeu. Merci à cette mairie pour ses équipements d’accueil. Par une belle matinée que la rosée avait égayée, le groupe de 25 équipés de guêtres plus ou moins seyantes a suivi le chemin du coteau, nous amenant à la forêt de Montpellier.
- En suivant une sente forestière, nous sommes arrivés sur la commune de St Arailles dans une ferme au lieu dit Guillot. L’accueil réservé par la propriétaire et sa fille nous a été très agréable nous montrant un échantillon gascon d’animaux de sa ferme : vaches race mirandaise, porcs noirs, poules gasconnes en totale liberté. Toutefois, ce qui a retenu notre attention c’est la tomme issue de brebis de race Manech (un exotisme basque…). Il nous fallait rejoindre le fond de vallée. Ainsi bien que réservé, L’Osse tentation nous a amené vers cette rivière. La traversant et rejoignant la chapelle des Brétous, nous y avons fait notre pause déjeuner.
- Après l’avoir visitée (la porte d’accès n’étant pas verrouillée, merci à la Mairie) nous avons pris le chemin nous menant à un ancien Moulin à vent reconverti en observatoire. Puis les chemins nous ont menés vers le centre du village de St Arailles sis sur une motte castrale présentant une architecture faite d’enceinte et de portes fortifiées.
- De retour vers notre parking nous sommes passés devant le château de Pitron et le moulin de Riguepeu.
- Pour conclure cette belle journée ensoleillée, nous avons visité le pont-digue du moulin de Mazères à Barran.
En synthèse, l’Astarac nous a offert 16 km de chemins, pour 220 m de dénivelé.
Alain D
Photos d'Hervé et Philippe
Dimanche 1er décembre 2024 - Buzet-sur-Tarn (31)
- Nous étions 24 à pied d’œuvre dès 9h sur les allées promenade de Buzet-sur-Tarn (31), en face du pont sur le Tarn, avec quelques brumes matinales rapidement dissipées. Du pont, nous découvrons l’imposante église fortifiée locale et les vestiges de l’ancien pont couvert, seul point de passage sur le Tarn à l’époque dans ce secteur.
- Cap sur le Grand bois, territoire principal de la randonnée du jour de l’autre côté du Tarn. À noter la signalisation à l’entrée du bois faisant appel à la responsabilité des usagers de ce secteur forestier.
- Nous prenons progressivement un peu d’altitude pour atteindre le chemin de crête par un chemin forestier marqué par de profondes ornières dues au ravinement et aux passages d’engins forestiers. Redescente ensuite vers le niveau du Tarn avant de remonter vers Roquemaure par un passage sur route assez fréquentée, nécessitant de veiller à la sécurité du groupe.
- Nous reprenons assez rapidement de la hauteur avec une belle vue sur cette vallée du Tarn et le village voisin de Bessières. Retour ensuite vers les vallons forestiers pour aboutir sur une zone de cultures avec un chemin en ligne de crête dégageant là-aussi de belles vues sur la campagne bocagère environnante.
- Nous entamons ensuite la descente vers le village de Mézens où nous trouvons un endroit propice pour faire la pause casse-croûte, en gardant aussi un point de vue assez large sur la plaine alluvionnaire du Tarn.
- Reprise ensuite de la descente vers Mézens où nous pouvons voir les imposantes tours du château local. Retour par le chemin serpentant le long des cultures en pied du massif forestier avec une vue sur la petite route bordée d’arbres têtards, des mûriers utilisés dans le temps pour les élevages locaux de vers à soie.
- Nous terminons cette randonnée par une visite du centre-bourg de Buzet aux vieilles maisons à colombages bien restaurées pour certaines, donnant un réel cachet d’ensemble à ce cœur de village. L’architecture massive de l’église fortifiée locale qui faisait face au château aujourd’hui disparu montre l’importance accordée à la défense de cet ancien pont stratégique sur le Tarn.
- Nous avons enfin la chance de bénéficier de l’ouverture exceptionnelle ce dimanche du bar de la Promenade, ce qui nous a permis un bon moment de convivialité sur fond musical pour terminer cette belle journée.
- 17 km et 380 m+, sous des conditions météo idéales pour randonner, à la pleine satisfaction de l’ensemble du groupe.
Alain M.
Illustration photos d’Alain
Du vendredi 29 novembre au dimanche 1er décembre 2024 - Plomb du Cantal et Puy Mary
- Nous étions 7 personnes à partir le vendredi de bon matin pour faire une première rando autour de Murat avec le picnic sur le Rocher de Bonneville sous la protection de la Statue Notre-Dame de la Haute-Auvergne (8,5km 350m+). Le soir 3 autres randonneuses nous rejoignent au gîte du Relais des Castors.
- Le samedi la journée s’annonce ensoleillée, le groupe réuni est donc motivé pour monter au Plomb du Cantal au départ du Col de Prat de Bouc. Nous aurons de belles vues sous le soleil depuis la crête du Puy du Rocher à 1800m d’altitude (14,5km 750m+). Ensuite en revenant à Murat, l’achat de fromage s’impose (Cantal, Salers, Bleu d’Auvergne, Tome fraîche...).
- Le dimanche, nous essayons de partir de bonne heure pour le Puy Mary au départ de Super Lioran. Ce fut une belle montée avec le petit passage par la Brèche de Roland pour certains d’entre nous. Au sommet du Puy Mary à 1783m, nous prenons notre picnic avec une vue magnifique sur la chaîne des Puys. Mais hélas il faut maintenant redescendre pour rentrer sur Toulouse (17km 800m+).
Christophe
Samedi 23 novembre 2024 - De Lasseran au lac de Castagnère (32)
- Notre randonnée a débuté à Lasséran, charmant village gersois à 10 mn au sud d’Auch. Commune dont les villageois ont investi leur créativité dans divers champs (sculptural, poétique, philosophique, pacifique, ornithologique,…). Ainsi tout au long du parcours nous avons découvert un jardin de la paix, des sculptures faites de branches et troncs, des panneaux nous invitant à écouter le silence, des nichoirs à oiseaux…
- De sentes boisées en chemins découverts, d’où s’affichait la majestueuse chaîne pyrénéenne baignée du soleil matinal, nous sommes parvenus au lac de Castagnère que nous avons longé sur sa rive droite. L’Auloue traversé, les coteaux de la rive opposée nous offraient un panoramique du lac blotti dans son écrin vallonné.
- Des chemins quelque peu boueux nous ont conduits à une petite chapelle de Castagnère non loin de notre lieu de Pic nique en bord du lac. Repus, nous avons longé, sur sa rive droite, l’Auloue, affluent de la Baïse, pour reprendre la direction du village de Lasséran.
- Sur le retour, les chemins forestiers étaient agrémentés de panneaux explicatifs sur l’ornithologie locale.
- Après 17 km et 300 m de dénivelé, nous voilà revenus à notre point de départ.
Crédit Photos : Hervé & Philippe
Alain D
Samedi 16 novembre 2024 – Journée « Animateurs » à Hautpoul (81)
- 31 personnes au RV, merci à tous les animateurs et membres du CA ayant répondu positivement à cette invitation.
- Depuis le parking du Verger, le gros de la troupe (23) entame une descente vers Moulin Maurel sur les bords de l’Arnette, traverse celle-ci avant d’entreprendre une bonne montée, heureusement adoucie par les nombreux lacets. L’itinéraire évolue majoritairement en sous-bois, dans de magnifiques châtaigneraies mais offre aussi de très beaux points de vue, en terrain découvert. Le temps n’étant pas compté, certains en ont profité pour cueillir quelques beaux champignons !
- Comme souvent, il faut redescendre ce qui a été monté, cette sortie n’y échappe pas ; 200 m D- d’une belle descente puis le sentier, plus ou moins en courbes de niveaux, mène à « La Passerelle » qui vaut le détour ; bel ouvrage à 70 m au-dessus de l’Arnette, d’une longueur de 140 m, très stable, tablier en caillebotis métallique, garde-corps et grillages de protection, aucune crainte !
- Il reste 500 mètres de parcours ascendant avant de rejoindre les 8 personnes ayant opté pour un parcours moins exigeant. Nous nous retrouvons donc tous au restaurant, autour d’un repas simple mais apprécié de tous (en tout cas, à ce stade, personne ne s’est plaint !).
- Après cette pause méritée, nous traversons le charmant village de Hautpoul, visitons les ruines du château, le jardin médiéval, les ruelles et la place au marronnier géant, avant de monter au rocher de la Vierge, très beau point de vue sur les environs. La montée se poursuit jusqu’à l’altitude 602m puis nous entamons la redescente jusqu’à l’église St-Pierre des Plots. Là, le sentier change radicalement de direction et nous ramène, au gré d’une longue mais régulière descente en forêt, au parking du Verger.
- Cette boucle fait environ 14 km et 600 m de dénivelé. Nous étions nombreux, joyeux, le soleil lui aussi a répondu présent, ce fut une fête !
Merci à toutes et tous !
Philippe et Michelle
Reportage photos des Daniel’s et de Laurent
Dimanche 10 novembre 2024 - Cévenne de Béars (46)
- Au départ de ce hameau blotti dans une boucle du Lot, nous étions 19 randonneurs sous un ciel nuageux, sans pluie. C’est préférable, les parties pentues avec les pierres calcaires et feuilles glissantes rendraient la randonnée à déconseiller…
- Nous arrivons assez vite sur le plateau au milieu des buis meurtris par la pyrale et entourés d’une végétation qui a du mal à passer aux couleurs automnales. C’est une succession de petits sentiers, la plupart sous bois, qui font remarquer que cet itinéraire constitue une rando «4 saisons» : nous l’avons déjà réalisée au printemps 2021 ! Les petits mas et combes se succèdent donnant une allure variée au milieu des lichens agrippés sur les branches de buis mort.
- Avant d’arriver à la combe de la Roumégouze, une descente prononcée, heureusement sur terrain sec. Courte halte pour observer une petite cabane bâtie qui protégeait le cultivateur avant d’emprunter le sentier qui remonte à nouveau. Pas le temps de s’ennuyer, ce sentier balisé est une succession de «montagnes russes» lotoises. Descente vers le bord du Lot que nous longeons sur 1 km à la recherche d’un endroit pour poser le sac du pique-nique.
- Pause rapide car un léger crachin nous inquiète, il reste 6 km à parcourir. Nous rejoignons le hameau de Pasturat par une route non fréquentée. De là, nous sommes prés du Lot et de hautes falaises dans lesquelles nous apercevons des cavités autrefois habitées. Nous reprenons à nouveau de la hauteur pour profiter, depuis le sentier en crête, de la vue plongeante sur les courbes du Lot. Une gariotte restaurée nous permet une nouvelle halte avec photo souvenir.
- Retour au parking dans le hameau après 17 km et 550 m de dénivelé.
- Dans le joli village de Vers, le restaurant de la Truite dorée nous accueille pour partager le verre de fin de randonnée.
Daniel Louineau et Valérie ont réalisé les belles photos.
Daniel
Samedi 9 novembre 2024 - Les étangs de Picots (09)
- Nous sommes 6 à participer à la sortie.
- Au départ, juste sous le barrage de Soulcem, le sentier est pratiquement plat sur 1 km. Puis, comme prévu, la pente devient raide, même très raide par moment. Les 4 lacs apparaissent les uns après les autres, nous bénéficions d'un rayon de soleil pour le pique-nique face au lac supérieur et au Malcaras.
- Les nuages arrivent ensuite et notre descente s'effectue sous un brouillard peu épais. C'est à la fin de la partie raide que la pluie nous rattrape et nous accompagne jusqu'aux voitures.
- Nous avons marché 10 km, avec 850 m de dénivelé.
Nicole, animatrice
Jeudi 7 novembre 2024 - Monléon-Magnoac (65) - « Le circuit des deux Cier »
- Nous sommes 30 au total dont 24 au départ de Léguevin et 6 que nous retrouvons sur place attablés au café. La journée sera belle et le soleil sera au rendez-vous mais dans l’après-midi…
- Nous quittons le village de Monléon pour traverser le premier Cier. À peine échauffés, nous entamons une montée à 10% puis 7% suivie d’une descente entre -7% et -10%. C’est juste pour nous mettre en appétit car après avoir rejoint le second Cier (d’Arpajan) nous retrouvons à nouveau une rampe à 10% sur plus d’un kilomètre.
- Surprise, en haut de cette côte, nous arrivons au canal de l’Arrat qui vient du plateau de Lannemezan et alimente par 7 canaux ces vallées et lacs dont celui de la Gimone. Après l’avoir longé sur un kilomètre environ nous entamons la descente vers Villemur, le canal descend lui aussi et le flot est tellement rapide et prend des virages tellement serrés que les rebords du canal sont relevés pour épouser le relief. On dirait une piste de bobsleigh.
- Pour piqueniquer, j’ai prévu un banc, un seul, mais pas de table : un banc de 100 mètres de long tout de même. C’est le muret qui borde la Place de la Mairie. Cerise sur le gâteau, la secrétaire de mairie nous indique des toilettes qui sont si discrètes que je ne les avais pas remarquées lors de la reconnaissance. La plupart du dénivelé est derrière nous, nous pouvons encore profiter de la campagne aux couleurs automnales. Au fait, j’oubliais tous les animaux que nous avons soit approchés (chevaux et ânes), soit laissés indifférents (moutons et cochons) soit inquiétés mais pas trop (Patou). Un dernier animal a laissé des traces de griffes sur un eucalyptus. Est-ce un ours, un lynx ?
- Pour finir un point de vue sur Castelnau-Magnoac, et retour sur Monléon qui a de très jolies bâtisses qui ont été restaurées.
- A 16 heures nous sommes attendus à la taverne qui fait bar, restaurant, épicerie, dépôt de pain, tabac, et tout ce qu’on veut pour partager un verre à la santé d’Antoine.
- Au fait, trois sur quatre Dorodango, que j’avais posés de ci de là lors de la reconnaissance, ont été retrouvés…
- Merci à Gilberte, Hervé, Laurent et Philippe pour les photos et à tous pour votre participation, et à une prochaine fois sur les chemins.
Philippe Boulay
Mercredi 23 et jeudi 24 octobre 2024 - De Lacrouzette à Saint Salvy de la Balme (81)
- Le RDV était à 9 h à " la croix de Beyries" à proximité du village de Lacrouzette. Grand parking aménagé avec des tables où d'ailleurs nous ferons le pique-nique à 12h30. Nous voilà partis pour un circuit en boucle intitulé :"Les Rocs de Crémaussel "pour 8 km et 236 m de dénivelé.
- Nous prenons la direction de "la Fusarié" et le "chapeau du curé" au lieu dit "Ricard, nous tournons à droite et nous montons vers les différents blocs de granit. Nous rencontrons successivement : les trois fromages, la langue, le grain de beauté, le billard, l'éléphant, le fauteuil du diable et bien sûr l'oie. Sur le retour nous pouvons également ramasser de belles châtaignes, ensuite retour au parking de la Croix de Beyries pour le pique-nique, où nous trouvons bancs et tables (réservés par un couple de participants qui nous ont rejoints).
- Puis nous reprenons les voitures jusqu'au lac du Merle, joli paysage et suite de la récolte de châtaignes. Direction ensuite la Maison du Sidobre pour une vidéo expliquant le travail d'extraction et de transformation du granite, en introduction à la visite d'une carrière et d'un atelier produisant, à partir de blocs de plusieurs tonnes, des pièces de toutes dimensions pour le funéraire, l'aménagement intérieur, le pavage,...
- Après cette prise de connaissance du monde industriel local, nous nous dirigeons vers le lieu du repas du soir et du repos nocturne à Brassac. Un apéritif de qualité offert par un couple de participants ouvre de manière bien sympathique la soirée, les plateaux de charcuterie, les cassoles de cassoulet et la croustade généreusement proposés ont copieusement garni nos estomacs, à notre grande satisfaction.
- Jeudi matin, direction Saint Salvy de la Balme pour un circuit de près de 18 km et 300 m de dénivelé, la « Ronda del Peiraire », les peiraires désignant les tailleurs de pierre dans le monde d'avant.
- Après l'échauffement rapide dès la première montée du premier kilomètre, nous allons parcourir d'agréables petits chemins le long desquels nous faisons ample récolte de châtaignes. Nous remarquons aussi tous ces amoncellements de rocs qui parsèment champs et forêts et font la particularité unique de ce petit territoire tarnais. Nous en aurons un exemple frappant avec le rocher tremblant qui nous accueille pour le RTS, bloc de plusieurs tonnes que certains d'entre nous n'hésiteront pas à faire trembler, sans conséquence heureusement, ni pour eux, ni pour le rocher !
- Au cours de cette randonnée, de beaux points de vue sur la plaine castraise et la Montagne Noire vont ajouter au plaisir de profiter d'une météo plus que clémente pour la saison.
- Nous terminerons ces 2 journées par le pot habituel sur notre parcours de retour.
Jean-Pierre
Samedi 12 octobre 2024 - Ponts et Passerelles sur l’Aussonnellede Bonrepos à la Salvetat Saint Gilles
- Nous étions 17 pour cette rando d’octobre sur le thème de l’Aussonnelle. Une petite présentation «d’hydrologie» du bassin de la Garonne est faite avant d’attaquer notre parcours sur l’ Aussonnelle. Cette rivière est un petit affluent direct de la Garonne entre la Save et le Touch. Il mesure 42km de longueur. Il faut comparer cela à la vingtaine d’affluents de plus de 100km avec en particulier le Lot et le Tarn (plus de 300km).
- Nous passons la première passerelle sur le ruisseau de Fonbrennes (petit affluent de l’Aussonnelle) avant de voir notre premier pont sur l’Aussonnelle. Ensuite nous traversons le parc urbain de La Cazalère pour voir notre deuxième passerelle sur le ruisseau de la Crabère (affluent de 8km de l’Aussonnelle). Nous continuons ainsi sur les routes et chemins en essayant de longer l’Aussonnelle tout en restant sur les passages non privés. Nous traversons le Vidaillon en direction de la Salvetat avant de revenir sur la passerelle métallique sur l’Aussonnelle au niveau des «Chaussures du Château».
- En tout, nous aurons vu ou franchi 11 ponts ou passerelles en traversant Fontenilles d’est en ouest.
- 20km avec un dénivelé de 40m pendant une belle journée ensoleillée !
Christophe
Samedi 12 octobre 2024 - Cabane d’Aula (09)
- Accès au hameau d’Estours par une petite route encaissée depuis le moulin Lauga. Parking à proximité d’une micro centrale électrique. Départ vers 9h15 pour un aller-retour en suivant en permanence le ruisseau de l’Artigue bien alimenté en cet automne pluvieux.
- Nous étions 12 pour profiter de cette journée par un temps nuageux et vent sur la partie haute du parcours. La première partie jusqu’à la cabane d’Artigue est parcourue sous bois. Elle est peu pentue, nous permettant d’apprécier les différentes cascades qui tombent vers le ruisseau. Celle du Bidet est très jolie avec les feuilles qui commencent à prendre des teintes d’automne. Un unique et rare champignon de couleur orange vif a attiré notre attention. Il a été identifié, a posteriori, comme un guepinia, sans totale certitude... Des passerelles, certainement empruntées par les chasseurs, ne permettent pas de s’engager vers l’autre rive. Nous poursuivons la rive droite jusqu’à la cabane d’Artigue, située à 6 km du départ.
- Nous apercevons à droite la cascade d’Arcouzan sans pouvoir s’en approcher car le débit du ruisseau est trop abondant. Petite pause avant d’entreprendre la montée vers la cabane d’Aula à travers le bois de Puech. Il reste 500 m de dénivelé et nous apprécions la vue sur le mont Valier. Belle ascension en serpentant sur le GR10 que l’on ne quitte pas de la journée !
- Arrivée sur le petit plateau où l’on rejoint la cabane d’Aula. Refuge apprécié pour le pique-nique car le vent est vif. Pause déjeuner assez courte car il reste le retour d’une dizaine de km.
- Descente assez rapide avec une nouvelle halte à la cabane d’Artigue où nous croisons les seuls randonneurs de la journée.
- 1000 m de dénivelé avec 21 km dont le parcours a été apprécié, notamment par trois nouveaux adhérents qui découvraient ce type de parcours moyenne montagne avec notre groupe.
- Une halte à Seix pour prendre un verre et faire des achats de fromage.
Animateur : Daniel Laborde et crédit photos de Chantale et Laurent.
Samedi 5 et dimanche 6 octobre 2024 - Week-end à Billière (31)
- Samedi 5 octobre (7 participants). Nous avons dormi vendredi soir à Billière pour pouvoir être à la station de Peyresourde à 8 h. Nous montons en voiture jusqu'au restaurant d'altitude après le télésiège des Cimes à 1 850 m. La trace remonte plein sud avant de passer de l'autre côté de la montagne. Nous cheminons sur un sentier à flanc de montagne en direction du Couret d'Esquierry. Un bruit nous fait lever la tête : une harde de biches et plusieurs cerfs nous regardent. Leur brame résonne. Nous apercevrons ensuite d'autres groupes sur le versant. Les cerfs portent leurs bois bien dressés sur la tête ce qui leur donne un port altier : nous profitons du spectacle.
- Du Couret d'Esquierry nous prenons plein sud pour atteindre les lacs de Nère. Le sentier monte ensuite sur le bord de la paroi à gauche du lac. Après le lac de Nère Arrouge le sentier se poursuit dans la caillasse. Le couloir avant la crête est très glissant. Nous prenons sur la droite et c'est beaucoup plus facile. Arrivés à la crête il faut la suivre jusqu'au sommet en mettant les mains. Enfin, cette fois-ci, nous voici au sommet ! Le temps est très clair, nous dominons les lacs de Caillauas et Pouchergues. Nous prenons le temps de contempler le panorama.
- Pour la descente, nous suivons la crête sans descendre dans le couloir. Une trace très praticable nous amène au pied du couloir et nous rejoignons le sentier de montée. Descente sans problème jusqu'aux lacs de Nère.
Au lac inférieur, nous traversons le ruisseau de Nère et nous le suivrons jusqu'à croiser le GR10. Il faut alors, sur un long faux-plat, suivre le flanc du versant de la Montagne d'Ourtigat pour repasser du côté de la station de Peyresourde et retrouver les voitures.
Nous arrivons aux voitures à 17h30 : il nous aura fallu 9h30 pour faire les 16 km et 1 250 m de dénivelé +/-.
Le restaurant de Billière le soir est particulièrement apprécié. - Dimanche (5 participants) matin nous décidons de prendre un peu plus notre temps. Les 5 participants prennent la route du col de Balès pour une randonnée de 6 sommets.
- Grâce à une piste nous grimpons progressivement jusqu'à la crête pour déboucher vers 2 000 m au nord de la montagne de Cardouet. Par la crête en direction plein nord nous atteignons le sommet du Templa 2 121 m : premier sommet.
A l'ouest nous descendons en crête pour remonter au sommet du Peberé 2 078 m : objectif 2.
S'ensuit une longue marche en montagnes russes, globalement au nord pour arriver à la montagne du Pin 2 001 m. En voilà 3.
Toujours plus au nord notre trace de crête nous amène à la montagne d Areng 2 079 m, 4ème sommet. La chaîne au loin est assez nuageuse mais nous, nous sommes au soleil pour admirer la paroi aux reflets rouges du pic à côté.
Pour le retour nous décidons de couper, de rester à flanc sous la crête. Cela nous évite du dénivelé, mais la marche n'est pas aisée, nous sommes hors sentier et en dévers.
Nous retrouvons le col qui nous avait permis d'accéder à la crête.
2 participants décident de descendre et à 3, nous poursuivons. Le 5ème objectif est la Montagne de Carouet, 2 076 m, pour terminer avec le Mont Né 2 147 m : ce qui fait bien 5 et 6. - La descente au col de Balès est rapide. Nous avons encore marché 16 km avec 830 m de dénivelé.
Ce qui fait tout de même un bon total sur le week-end.
Merci Florence pour ton accueil.
Nicole, animatrice