Fevrier 2018

Nous sommes partis à 13 par une journée fraiche et ensoleillée à Gimont
Cahuzac, Planselve, circuit de moto-cross sous tous les profils, oies sous le pont de la Gimone suivies du paysage gascon, telle a été notre matinée.
Après un repas pris à la ferme, direction Touget, charmant village fortifié que nous avons visité.
Retour à la ferme pour ramasser des jonquilles à l'orée des bois qui étaient jaunes
Journée bien agréable dans notre beau Gers
Maguy

Phortos

Il fait -5°C au départ de Léguevin mais nous sommes quand-même 14 partants pour une boucle en raquettes par le Rocher de Miglos, notre point culminant à 1708 m d’altitude.
Altitude de départ : 890 mètres. Nous attachons les raquettes sur les sacs mais, environ 200m plus haut, nous pouvons les chausser. Les chutes de neige abondantes du début de la semaine ont tout recouvert ; les arbres sont restés « plâtrés » et nous avançons dans une poudreuse profonde, sous un soleil inespéré, dans un décor de rêve. A partir du col de Larnac, nous suivons une large crête, à découvert, avec une vue sur 360° : Mont Fourcat, St Barthélémy d’un côté, cirque de Bassiès et Mont Valier de l’autre.
Près de la cabane des Estanils, nous rencontrons un fauconnier, ravi de répondre à nos questions sur ses oiseaux puis l’ascension se poursuit tranquillement jusqu’à l’amas de rochers qui constitue « Le Rocher de Miglos », notre objectif. Chacun trouve un bout de rocher sec pour une pause repas revigorante, améliorée par l’excellent gâteau de Penny.
Arrive l’heure de la descente et c’est là que tout commence ; plus de sentier, plus de trace… Heureusement les GPS sont de précieux outils et grâce à eux nous plongeons dans une forêt de sapins croulants sous la neige, et dévalons la pente, 2 heures durant, tels une bande de lutins colorés dans un univers féérique, irréel… Les sapins se soulagent de leur lourde charge blanche à notre passage, comme pour nous saluer ; s’en suivent cris et frissons de surprise, rires et parfois aussi soupirs de lassitude… Elle est très longue cette descente dans la forêt mais je crois que nous n’aurons pas souvent l’occasion de la voir ainsi parée de son épais manteau blanc !
Nous retrouvons les véhicules avec un réel soulagement car la journée était longue, mais heureux et remerciant tous la nature pour sa beauté inégalée !

Michèle

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18 inscrits pour cette randonnée, reportée de la veille à cause des conditions météo. Nous traversons le village de Simorre, dans la fraîcheur matinale mais sous un beau soleil. Passage à côté de l'imposante église fortifiée de Notre-Dame, édifiée au XIVe siècle, puis remaniée par Viollet-le-Duc au XIXe, pour entamer notre randonnée à travers la campagne du pays d’Astarac avec les Pyrénées enneigées en fond de toile.
Quelques hésitations puis nous retrouvons le chemin qui nous amène dans le Bois de Larrouy jusqu’au Kazé (vent en japonais), l’œuvre impressionnante évoquant un cyclone prisonnier de la forêt du sculpteur japonais Teruhisa Suzuki.
Après la pause déjeuner à Saint Elix, nous voilà repartis sous un ciel menaçant pour le retour à Simorre par un chemin herbeux (et bien boueux !) qui suit La Gimone (il n’y a pas qu’en Ariège que « ça monte et ça descend »). Merci aux chauffeurs, qui sont allés chercher les véhicules au point de départ de la rando afin de nous permettre de nous déchausser au sec sous la halle. Pot de l’amitié à Lombez (bistrot sans lait pour les chocolats chauds qui, pour certains, auraient été les bienvenus) et retour sous la pluie à Léguevin.
Penny

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Samedi 17 : A notre arrivée aux 4 Véziaux, après Campan, juste avant le village de Payolle, une légère pluie nous décide à trouver une cabane pour le pique-nique.
Nous partons en direction de la station (fermée actuellement, pistes de fond damées et en accès libre). Avant d'atteindre le barrage du lac, nous prenons à droite une piste qui se transforme en chemin forestier. Sous les arbres, le sentier n'est plus trop enneigé et nous chaussons, déchaussons plusieurs fois les raquettes. Après une bonne heure, nous traversons un ruisseau pour retrouver une route, bien mieux enneigée que le sentier qui nous fait redescendre vers Payolle. Une piste de fond nous permet de remonter et de rejoindre la route de la Hourquette d'Ancizan. Il faut encore suivre cette route sur 2km pour trouver les cabanes de Caoudiet. C'est la dernière, en haut du village qui est ouverte. Il est 14h, tout le monde est affamé et content de pique-niquer assis autour d'une table, à l'abri. Pendant notre repas, il neige un peu.
Pour la descente, nous suivons la route jusqu'au lac de Payolle, puis la pelouse St Jean et nous arrivons aux 4 Véziaux pour prendre possession de nos 2 appartements.
L'apéro est bien arrosé et joyeux !

Dimanche 18 : A 9h30 nous partons en direction de la vallée de la Gaoube avec Alain qui nous a rejoint pour la journée. Il y a eu quelques flocons pendant la nuit et assez froid pour croûter la neige, mais nous avons un beau soleil et du ciel bleu. Nous rejoignons le Pla de Castet puis suivons la piste qui mène au lac de Montarrouye.
Au Courtaou des Esclozes, Michelle se fait une joie de nous expliquer les "leytès". Nous traversons sur le pont des Esclozes pour attaquer dans la pente et atteindre la crête au-dessus des Courtaous, vers le Sarroua. La longue crête, bien dégarnie par endroit, nous mène au Castet de Sarradis à presque 1800m. La dernière montée était assez soutenue, nous décidons de manger là, nous sommes à l'abri du vent.
Fin du repas, le temps a changé, les sommets autour sont dans la brume. Monter au col ne nous apporterait aucun point de vue. On décide de redescendre. En milieu de crête, nous basculons vers la Graoubole, à l'ouest. Nous passons à proximité d’un autre hameau en ruine avec une seule cabane de bergers en état et ouverte. Il faut remonter sur la crête et la suivre jusqu’au bout, direction nord. La neige commence à tomber. Nous retrouvons nos traces de l’aller pour redescendre de la crête et retrouver les Courtaous des Esclozes et la piste qui revient aux 4 Véziaux sous une belle neige.

Nicole

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Après ces derniers jours de pluie, nous faisons confiance à la météo qui nous promet une journée ensoleillée après une matinée nuageuse, avec des températures plutôt élevées pour la saison. Nous sommes 18 au départ de Léguevin pour nous rendre à Aurignac.
Au départ, nous empruntons la porte de Benque. Après un long cheminement dans la forêt, sur un chemin certes humide mais pas trop boueux malgré les pluies récentes, nous atteignons Esbayles, petit hameau perché sur une colline. Petits détours jusqu’à sa tour du XIIIe siècle juchée sur un éperon rocheux et en cours de rénovation. Là nous faisons une petite pose en-cas pour reprendre quelques forces au soleil.
Nous reprenons le chemin après quelques photos, passons à Boussan, puis Perron. Après un cheminement sur les crêtes, nous allons déjeuner dans un champ, en plein soleil, devant le château de la Nine. Il fait même chaud. Après une brève sieste, nous repartons et passons devant une belle aire à pique nique. Dommage ! Sur le chemin du retour à Aurignac, nous passons devant l’abri de l’aurignacien.
Encore une belle journée sympathique, sous le soleil, et avec une douce chaleur presque printanière.

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Ce samedi, la météo nous offre un répit : le soleil est là, mais la température est ...hivernale ! Nous étions donc 16 au départ de cette rando depuis le parking de Saint Antonin. Le GR 46 que nous empruntons nous propose une longue montée dans les cailloux (c'est un chemin de croix qui se termine... au calvaire) jusqu'à une chapelle en ruine (déjà 170 m de dénivelé). Par un chemin sur le plateau nous accédons au point de vue du Cirque de Bône. Le sentier continue sur le plateau. Nous dépassons le hameau de Roane et empruntons une large piste forestière qui nous ramène dans la vallée près de l'Aveyron.
Après avoir traversé le pont, les difficultés commencent : le sentier s'assimile à une " via ferrata " et cela nous donne quelques sensations pour escalader la falaise ! Le pique-nique bien mérité a été pris sur un muret dans le joli Hameau des Brousses. Puis nous suivons " la route de la Corniche " (points de vue sur la vallée), nous traversons le Hameau du Vieil Four et le sentier remonte longuement jusqu'aux crêtes. La descente assez pendue et boueuse s'effectue en forêt et nous rejoignons Saint Antonin.
Pour finir cette belle journée le rituel nous a réuni autour d'un pot bien apprécié.
En résumé : 18 km et 500 m de dénivelé
Annie

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15 au départ pour la première randonnée "journée en week-end" Plaines et Vallons de l'année 2018.
Grande facilité de parking dans la ville qui est bien calme à cette heure matinale et nous passons bien groupés devant une boulangerie qui ne fera pas affaire avec nous, tout le monde ayant déjà son ravitaillement dans les sacs.
Et c'est rapidement la campagne... et le brouillard qui cache le relief. Nous sommes dans le Gers : en cette fin d'hiver très pluvieux, il nous offre ses chemins bien boueux...
Passage devant la belle résidence du château de Montéléone et suite du chemin sur le GRP Coeur de Gascogne.
Virage à droite et recherche du chemin présent sur la carte mais absent sur le terrain. Heureusement une solution existe un peu plus loin pour rejoindre Scieurac.
Et c'est la quête en vue d'un endroit (agréable) pour manger, il fait frais voire froid, tout est humide... et pas d'aire de pique-nique à l'horizon. Les bords du lac de Bousquétara se révèlent particulièrement hostiles à toute halte, une fois évacuée l'idée de profiter du camping "sauvage" des 2 ou 3 vieux engins routiers déjà habités et gardés par de nombreux chiens pas obligatoirement sympathiques.
Mais un peu plus loin, la surprise de la journée : un grand hangar d'une ferme déserte avec à l'arrière un autre hangar abritant une collection de vieux tracteurs dont un à chenilles... Pas de sieste, mais une séance photo originale...
Il faut penser à repartir car le ciel vers l'ouest laisse craindre une fin de parcours délicate, ce qui se révélera exact avec une bonne averse couplée avec de forts coups de vent, les capes ont été utiles!
Après 20 km, la photo souvenir auprès des Mousquetaires clôturera la journée, ou presque car elle sera suivie de l'habituelle halte de fin de rando dans un endroit bien chauffé!

Guy

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